Le Fonds multi-bailleurs pour l'accélération et le développement de l'agriculture (FADA) est un fonds fiduciaire qui œuvre à la préparation de projets agricoles, en supportant les coûts initiaux que les promoteurs de projet ne pourraient supporter seuls. Ce faisant, le FADA participe à l'élaboration d'une réserve de projets prêts pour l'investissement, qui permettront d'attirer les institutions et organisations de financement du développement agricole. La Banque Africaine de Développement (BAD) assure la gestion de ce Fonds, dont l'accès aux ressources est basé sur la demande.
Actualité
« Entreprenariat agricole des femmes : obstacles, défis et perspectives », c’est sous ce thème que les femmes du Burkina Faso vont célébrer la 159e Journée internationale de la femme, ce 8 mars 2016. C’est en prélude à cette cérémonie que la ministre de la Femme, de la Solidarité nationale et de la Famille, Laure Zongo/Hien, a animé une conférence de presse ce 25 février. Le thème retenu cette année se justifie par le fait que « l’entreprenariat féminin constitue un moteur de la croissance économique et de la création d’emplois au Burkina Faso.
Depuis 2009, dans le dessein de garantir une meilleure protection des ressources en eau, la loi n°058-2009/AN du 15 décembre 2009 portant institution d’une taxe parafiscale au profit des Agences de l’eau a été adoptée. Ce vendredi 26 février 2016, le Secrétariat permanent du Plan d’action pour la gestion intégrée des ressources en eau (SP/PAGIRE) a expliqué les tenants et les aboutissants de cette loi.
JEUDI 25 FEVRIER 2016
09:00 – 09:45 Cérémonie d’ouverture
09:45 – 10:00 Visite officielle des stands
10:00 – 12:30 Conférence thématique
12:30 – 14:00 Déjeuner
14:00 – 14:30 Rendez-vous 1
14:30 – 15:00 Rendez-vous 2
15:00 – 15:30 Rendez-vous 3
15:30 – 16:00 Pause-café
16:00 – 16:30 Rendez-vous 4
16:30 – 17:00 Rendez-vous 5
17:00 – 17:30 Rendez-vous 6
20:00 – 22:30 Soirée de Gala Hôtel LAICO
VENDREDI 26 FEVRIER 2016
10:00 – 10:30 Rendez-vous 7
A partir du mois de mai 2016, les cartes prépayées seront plafonner à 2.000.000 de F CFA. Cette mesure fait suite aux instruction n°008-05-2015 régissant les conditions et modalités d'exercice des activités des émetteurs de monnaie électronique dans les Etats membres de l'UMOA.